FOX a écrit:
En prenant une barre 3L marron, pour l'insérer dans un cône trans (pour une liaison), j'ai eu vraiment toutes les peines du monde à retirer cette satanée barre : il a fallu la pince multiprise (avec un élastique autour de la pièce, pour ne pas la peter), et j'ai dû tirer comme un bourrin... pour constater que cette barre 3L était en fait la flûte du faune série XX, et les tampographies des trous de flûte créaient une surépaisseur minime, mais largement suffisante pour bloquer la pièce
Ca ajouté au fait que ton cône est trans : ce n'est pas le même plastique et il est moins facile d'y emboiter / coulisser quelques chose.
Free Bird a écrit:
Autre incompréhension de choix dans un autre domaine, les stickers. Pourquoi dans certains cas, les autocollants cotoient les pièces sérigraphiées, au lien de tout l'un ou tou l'autre. Et surtout sur un set Ideas (21310). Alors que sur le 10497, chance, 0 sticker, alors que le set était moins cher.
Aaaaaaaah, la fameuse grande question les stickers !
Une chose que j'ai compris est que ça dépend du nombre de pièces identiques avec décoration : plus elles sont nombreuses plus il y a de chance qu'elle soient tampographiées (les dallages dans
Fondcombe ou les pièces de l'antenne dans ce
set DC par exemple). De même si la pièce décorée se répète dans plusieurs sets ou si elle est très petite (flanc de plaque, tuile 1x1...) ou bombée (dish).
Ensuite, d'après certains interviews de designers, il ressort aussi que le budget alloué aux tampographies est un facteur limitant. Dans ce cas, difficile de deviner une règle interne au process de design Lego.